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5 sources d'énergie

LES 5 PRINCIPALES SOURCES D’ÉNERGIE DU CORPS HUMAIN 

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La vie de tout être est inconsciemment tournée vers l’acquisition d’énergie pour rester en bonne santé. Si jamais on manque d’énergie ou si l’on est en mauvaise santé, on ressent une certaine gêne et une grande insatisfaction dans la vie. Seul un potentiel psycho-énergétique amélioré peut apporter :   

- une meilleure résolution des actions

- des manifestations émotionnelles plus vives 

- la capacité d’entrer en résonance avec les puissantes énergies et les sentiments forts qui abondent dans les chefs-d’œuvre de Bach, Beethoven, etc.

Les sources d’énergie du corps humain sont complexes (elles sont internes comme externes), car nous possédons un corps composé d’énergie et influencé par différents types d’énergie.  

Voici les 5 principales sources d’énergie :

L’énergie bio-électrochimique, qui est libérée durant la digestion et qui est utilisée par les structures internes de la cellule (les mitochondries) pour synthétiser l’ATP (triphosphate d’adénosine). L’énergie stockée sous forme d’ATP est utilisée par le corps lors de diverses activités : physique (effort musculaire), chimique (création de nouvelles cellules), électriques (conduction de l’influx nerveux), etc.

L’énergie bio-électromagnétique se manifeste à travers la différence de potentiel guidée. La même différence de potentiel se produit dans toutes tensions de puissance du squelette humain  

L’énergie provenant de l’oxydation des acides gras par les radicaux libres. Elle sature les membranes cellulaires. Ce processus génère des électrons (de l’énergie) et dépend de la respiration.  

L’énergie cinétique des électrons libres peut être reçue par le biais des canaux d’énergie utilisés en acuponcture. Des électrons libres supplémentaires parviennent  dans le corps humain par le biais de de la respiration (pulmonaire et cutanée).

L’énergie informationnelle des flux de radiations cosmiques est composée de microparticules ultra-fines, qui sont accueillies par des récepteurs spécifiques situés dans la région de la tête et du périnée, et se transmet le long d’une colonne vertébrale énergétique. Ces flux sont aussi accueillis et accumulés par les cavités internes du système osseux humain. Des champs vortex d’information énergétique sont créés par ces flux, et pivotent sur des plans perpendiculaires au canal de la colonne vertébrale. On désigne ces champs sous le nom d’aura.

Il nous faut préciser que les énergies bio-électrochimique, bio-électromagnétique, ainsi que les énergies cinétique des électrons libres et celle issue de l’oxydation des radicaux libres, sont les attributs d’un corps énergétique matériel ; tandis que l’énergie issue des flux d’information Yin et Yang et des champs vortex créés par ces flux représentent la base des énergies informationnelles de l’être.   

Voyons maintenant plus en détail les différents potentiels énergétiques d’une personne.  

L’ALIMENTATION 

L’énergie fournie au corps par l’alimentation est l’énergie potentielle des électrons contenue dans les connexions chimiques des produits naturels. Lorsque les macromolécules sont découpées par les enzymes, ces électrons passent de hauts niveaux d’énergie à des niveaux plus bas, ce qui forme un flux de particules et cellules négatives, semblable à une avalanche,  afin de maintenir leur activité vitale.

C’est ce qu’on appelle la respiration cellulaire (ou endogène), un processus enzymatique complexe qui se déroule dans chaque cellule de tout être vivant. Au bout de ce processus, les macromolécules des glucides, graisses et protéines sont transformées en dioxyde de carbone et en eau. Ainsi se libère une énergie composée de chaleur et d’un flux d’électrons, qui permettra de synthétiser l’ATP. Plus on accumule d’ATP dans les mitochondries, plus les performances, l’endurance, l’activité sociale et le potentiel psycho-énergétique d’une personne seront élevés.

Cela mis à part, il est reconnu que la digestion des protéines, graisses et glucides nécessite parfois plus d’énergie que celle reçue par l’alimentation seule. Pour maintenir l’équilibre nécessaire entre l’énergie reçue et l’énergie consommée, il faut suivre ces trois règles de base :   

1) Manger uniquement des aliments compatibles entre eux lors d’un même repas. Par exemple, la consommation simultanée de produits digérés par l’acide gastrique (comme la viande, le poisson, les œufs) et de produits traités par la salive qui est alcaline (comme le pain, les céréales, les légumes), conduit à une neutralisation mutuelle des acides et des alcalins. En conséquent, les aliments ne sont pas digérés et finissent par pourrir dans les intestins. Cela peut provoquer plusieurs affections médicales telles que :

 - un empoisonnement du sang

 - une chute de l’homéostasie

 - un système immunitaire affaibli

 - une perturbation du métabolisme

 - un déséquilibre acido-basique

2) Manger des aliments structurés tant que possible. Cela signifie qu’il faut éviter de trop cuire ou de réchauffer les aliments, ce qui maintiendra leur potentiel énergétique au maximum.

3) Manger des aliments variés qui non seulement couvrent les besoins énergétiques et apportent les nutriments nécessaires au renouvellement cellulaire et tissulaire mais qui aident aussi à la digestion et à l’assimilation des aliments grâce aux vitamines et oligo-éléments qu’ils contiennent. 

L’EXERCICE PHYSIQUE

Depuis toujours, on accorde une grande importance à l’exercice physique et à l’aérobic en particulier, qui sollicite les muscles, est bénéfique pour le cœur et la santé. Il est bien connu que les muscles aident le cœur à propulser le sang dans le système veineux.

Un autre atout majeur des muscles réside dans leur capacité, durant les contractions, à créer une différence entre les potentiels électriques. De par cette différence, les électrons reçoivent une incitation supplémentaire à se déplacer dans les organes, tissus cellulaires et méridiens énergétiques.

Le rythme optimal et la durée des séances d’exercices jouent un rôle-clé lors de la marche, la course et l’aérobic. Remarquez que si vous rentrez chez vous après une marche lente, vous vous sentirez fatigué, voire faible ; alors qu’une marche rapide réclamera beaucoup plus d’énergie et vous affaiblira. Il est préférable de rester dans le juste milieu, et de se souvenir qu’un corps qui ne fait pas d’exercice est comme une eau stagnante : il se détériore et pourrit.

La reprise du souffle, qui se produit souvent après un exercice long et intense, suggère que les différences de potentiel dans les muscles actifs et dans les os du squelette se surimposent et structurent l’environnement interne corporel afin d’optimiser le flux des électrons libres. 

LA RESPIRATION CUTANÉE 

Ce qu’on appelle respiration cutanée est en fait l’absorption par le corps humain des électrons à la surface de la peau. Ce processus est renforcé par :

 - une peau souple et chaude ;

 - une peau légèrement humide (après une séance d’exercice) ;

 - les massages et autres frictions de la peau ;

 - l’utilisation d’applicateurs en métal ;

 - le pranayama des flux d’énergie cosmiques dans le corps.

Porter des vêtements synthétiques peut entraver le processus à cause d’une électrification plus intense qui prive la surface de l’épiderme d’un nombre non négligeable d’électrons libres.  

Lors de la respiration cutanée, les électrons s’accumulent sur les points d’acuponcture et s’insèrent dans les canaux énergétiques, ceux-ci prennent de la vitesse grâce à la supra-conductivité des canaux, qui s’explique par l’action des forces de coulomb dans un environnement structuré. L’énergie cinétique acquise par les électrons est utilisée par les organes corporels, ce qui active également de manière significative les réactions d’oxydoréduction qui conduisent à la restructuration des grandes molécules d’aliments en dioxyde de carbone et en eau. Comme nous l’avons lu plus haut, la restructuration libère l’énergie potentielle des électrons stockés dans les connexions chimiques des aliments. 

Ces trois processus interagissent et se complètent. Parmi eux, on retrouve l’alimentation, l’exercice physique et la respiration (y compris la respiration cutanée), qui résultent en une libération de l’énergie des électrons libres. Grâce à cela, le corps matériel énergétique peut fonctionner à plein régime. L’alimentation et la respiration génèrent de l’ATP dans les mitochondries et l’exercice physique crée une différence de potentiel qui amène l’énergie à affluer dans nos tissus cellulaires et dans nos muscles. 

LES RADIATIONS COSMIQUES ET SOLAIRES

Les corps d’énergie informationnelle d’une personne forment, nourrissent et soutiennent la cosmo-énergie – ce flux de particules ultra-fines qui est une partie intégrante de l’énergie informationnelle du monde. Ce flux est connu sous divers noms : prana, chi, éther, magnétisme, flux de  chronons ou de leptons, etc. Cependant, dans cet article, nous l’appellerons sous son nom le plus connu et le plus accessible de  radiations cosmiques. 

Comme nous le savons déjà, les radiations cosmiques se déploient en deux flux provenant de la colonne vertébrale : le Yin et le Yang, qui sont de nature plus énergétique qu’informationnelle, et qui ont un effet significatif sur le fonctionnement et le développement de l’énergie informationnelle des êtres.

Pour renforcer les flux du Yin et du Yang, ainsi que le développement des structures d’énergie informationnelles mentionnées ci-dessus, il existe plusieurs techniques avérées et efficaces, parmi lesquelles l’éveil du Kundalini, le travail sur l’orbite MK, et la respiration profonde des yogis. L’utilisation de Correcteurs d’État Fonctionnel renforce et harmonise tout particulièrement ces flux. 

Il est capital, pour l’énergie globale du corps, que les flux d’énergie informationnelle activent l’énergie du corps matériel, qui se manifeste particulièrement lors d’épisodes de crise ou de stress. C’est pour cela que vous devez recharger et rééquilibrer vos CEF, afin d’aider à la relaxation, à la guérison naturelle du corps et aux développements émotionnel, mental et du bien-être spirituel.

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LA RESPIRATION

Une alimentation normale et un exercice physique raisonnable ont un rôle essentiel dans l’apport d’énergie au corps. Cependant, la principale source d’énergie, et donc de vie, est la respiration. Lors de la respiration, deux procédés se déroulent simultanément : il y a un échange gazeux et un échange énergétique entre le corps et son environnement. Lorsque l’oxygène et les électrons libres pénètrent dans le corps, celui-ci libère de la chaleur, du dioxyde de carbone et de l’eau.

Les érythrocytes (ou globules rouges) se comptent par millions et jouent un rôle important dans divers processus d’échange. Selon le docteur et scientifique G. Petrakovich, l’hémoglobine des globules rouges permet l’échange de gaz, tandis que l’oxydation de la graisse par les radicaux libres contenue dans les membranes des mêmes globules rouges permet la production d’énergie. 

La science officielle de la respiration peut être présentée comme suit. Lorsqu'il est inhalé, l'oxygène pénètre dans les alvéoles pulmonaires, puis dans les capillaires et les vaisseaux sanguins. Grâce aux globules rouges et à l'hémoglobine qu'ils contiennent, l'oxygène est délivré à tous les organes et cellules du corps humain. Dans les cellules, notamment dans les structures cellulaires spéciales (les mitochondries, le traitement final de l'oxygène se produit lorsque les ions d'oxygène réagissent avec les cations d'hydrogène. Au cours de ces réactions, une grande quantité de chaleur, qui sera consacrée à la synthèse du principal accumulateur de bioénergie (ATP), est libérée. Après cela, l'énergie ATP est utilisée pour une variété de nécessités corporelles. Comme vous pouvez le voir, il existe un parallèle indéniable avec l'assimilation des aliments par le corps humain et la synthèse ultérieure de l'ATP.

C'est la manière reconnue de générer de l'énergie grâce à la respiration. Un autre processus de génération d'énergie pendant la respiration est, comme il en a déjà été fait part, l'oxydation des acides gras contenus dans les membranes cellulaires des globules rouges et de toutes les autres cellules du corps humain.

Voici par quel cheminement l’énergie est produite. À l’origine, les globules rouges reçoivent, dans les vaisseaux capillaires des poumons, une stimulation énergétique de la part des électrons libres et des anions inhalés avec l’air. Cela débute le processus d’oxydation des graisses des membranes cellulaires par les radicaux libres, à la suite de quoi les produits issus de l’oxydation tels que l’oxygène, les cétones, les aldéhydes, les alcools, etc., sont créés avec des niveaux de stimulation électronique externe. En d’autres termes, les cellules génèrent une énorme quantité d’électrons libres prêts à fournir de l’énergie.

La libération d'énergie se produit lors de la transition des globules rouges vers la circulation sanguine, les vaisseaux et les capillaires, lorsque les électrons libres transmettent une impulsion d'énergie et encouragent les autres cellules sanguines et les tissus voisins oxyder les acides gras. L'énergie est transférée via une réaction en chaîne, des cellules plus stimulées vers les cellules les moins stimulées. Ces dernières, stimulées à leur tour, transmettront de l'énergie à des cellules encore plus distantes, ce qui renforcera le processus d’oxydo-réduction.

Si l’on considère qu’une personne reçoit constamment de l’oxygène et des électrons libres lorsqu’il respire (ce qui déclenche les réactions cellulaires précédemment exposées), la respiration devient alors, de facto, le mécanisme central qui active les cellules corporelles, renforce leurs fonctions métaboliques, et permet d’obtenir de l’énergie. C’est la respiration qui procure au corps humain la majeure partie de l’énergie nécessaire à son fonctionnement.

En conséquence, la génération d’énergie par le biais de la respiration débute dans l’air environnant. Les bénéfices incluent :  

 - de respirer avec ses poumons l’air saturé en oxygène, mais aussi en électrons libres et en anions. L’air inhalé, qui contient plus d’électrons libres et d’anions (comme dans une forêt de pins, en bord de mer, près d’une cascade, après un orage…), incite les globules rouges à migrer vers les vaisseaux capillaires des poumons ;

- la stimulation électronique des globules rouges due alvéoles saturant les vaisseaux capillaires d’électrons libres et de bulles d’oxygène ;

- la production d’un potentiel d’énergie des globules rouges grâce à l’oxydation des graisses des membranes cellulaires par les radicaux libres ;

- une réinitialisation de la stimulation électronique des globules rouges se propageant aux autres cellules sanguines et aux cellules voisines de la circulation sanguine ;

- une réaction en chaîne provoquant la stimulation de toutes les cellules, organes et tissus internes du corps ;  

- une génération d’énergie cellulaire, ou, autrement dit, d’électrons libres ;

- le renforcement et l’amélioration du métabolisme du corps.

Il est bon de préciser que dans les processus ci-dessus mentionnés, toutes les substances nécessaires au fonctionnement des cellules (y compris l’oxygène interne), sont fabriquées dans les cellules.

L’oxydation des acides gras insaturés et poly-insaturés (qui font partie des membranes cellulaires) par les radicaux libres se produit régulièrement et libère bien plus d’énergie que le fait de s’alimenter ou de faire de l’exercice. De plus, la digestion nécessite beaucoup plus d’énergie que celle apportée par les produits consommés.

Il est possible de vérifier l’efficacité de son système respiratoire en jeûnant. Si par exemple, vous vous sentez bien (vous ne vous sentez pas affaibli) au bout de cinq jours de jeûne, ceci est un excellent résultat. Si à la fin du premier jour de jeûne, vous vous sentez nettement plus faible et êtes à bout de souffle, votre note se situe en bas de l’échelle. Lors du jeûne, travailler sur des exercices de respiration complexes et sur le Pranayama est obligatoire.  

Le processus d’oxydation des graisses par les radicaux libres, qui procure vie et énergie, peut parfois devenir pathogène. Ce processus destructeur se produit quand les globules rouges des capillaires sont trop stimulés et « chauds ». Dans ce cas de figurent, ils brûlent les membranes cellulaires et transmettent leur « chaleur » à d’autres cellules, provoquant des reactions destructrices de la part des radicaux libres.  

Ces processus pathogènes s’observent principalement :  

- lors d’une activité physique, si la personne est à bout de souffle ; 

- lors d’une activité sportive intense ; 

- lors de diverses réactions émotionnelles, et en particulier au stress ;  

- lors de brusques coups de froid en tombant dans l’eau, dans la glace…  

Ainsi, en pratiquant des sports ou une activité physique intensifs ou en s’exposant au stress, il est possible de renforcer à son insu les réactions des radicaux libres et par conséquent, de s’exposer à certaines maladies ainsi qu’à un vieillissement prématuré et accéléré des organes et des cellules.

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